Définition de l'éthique médicale
Divers / / July 04, 2021
Par Florencia Ucha, en déc. 2012
La éthique La médecine est la branche de l'éthique qui se préoccupe de promouvoir les principes éthiques qui régissent l'activité de la médecine. afin qu'une action correcte des professionnels de santé prévale toujours par rapport aux patients qu'ils traitent.
Branche de l'éthique qui promeut les principes et les valeurs chez les professionnels de la santé: respect et conscience dans le traitement des patients
En d'autres termes, il devrait faire la lumière sur ce qui devrait et ne devrait pas être fait dans des cas spécifiques.
L'importance de cette branche de l'éthique découle surtout de la nécessité de réguler l'activité médicale dans un contexte comme celui de nos jours où les avancées technologiques et les découvertes scientifiques sont en marche, et ouvrent donc de nouvelles possibilités de Acte.
C'est-à-dire que ce scénario a permis de traiter un maladie à partir de plusieurs propositions, mais bien sûr, leur utilisation ne s'applique pas toujours, et c'est à ce stade que l'éthique médicale doit intervenir pour ordonner la situation et garantir au patient qu'il sera traité avec
je respecte Oui conscience.L'éthique médicale jugera les actes médicaux sur la base de quatre principes essentiels: la bienfaisance, la non-malfaisance, la justice et l'autonomie, et C'est ainsi que l'action des médecins et de tous les acteurs qui interviennent dans le cadre de la santé doit être guidée par la eux-mêmes.
La éthique c'est une la discipline qui s'occupe de étude de la moralet à partir de cette approche, il nous dira quel est le comportement attendu des personnes qui composent telle ou telle société.
Il convient de noter que le moral C'est un concept qui va de pair avec celui de l'éthique et qui implique la ensemble d'actions et de comportements réglementés et caractérisés en bien et en mal, et qui guideront les comportements de la société dans laquelle ils sont imposés.
Fondamentalement, ce que fait l'éthique, c'est d'établir quels sont les comportements et les comportements les plus précieux et les plus respectables et ceux qui se situent du côté totalement opposé.
Puis, une fois identifiés, ils seront régulés et donc établis et socialement convenus sur ce est bon, mauvais, juste, injuste, entre autres et finalement, ce qui est éthiquement souhaitable et ce qui ne l'est pas c'est.
L'éthique, par exemple, est présente dans la plupart des métiers et activités que les êtres humains développent et bien sûr, en médecine, l'une des disciplines les plus notables et les plus importantes depuis l'Antiquité ne pouvait pas présenter une place de poids.
Ethique médicale ou déontologie médicale, comme on l'appelle aussi, regroupe un ensemble de normes et de principes qui inspirent et guident également le travail des professionnels de la santé.
Au-delà des modalités appliquées par chacun professionnel individu, les principes que propose l'éthique médicale doivent oui ou oui être observés et respectés par le médecin.
Toutes les organisations médecins dans le monde ont pour mission fondamentale de promouvoir et de développer la déontologie et aussi de postuler principes dans les ouvrages de déontologie qui éduquent les futurs professionnels et médecins en exercice le respect.
Bien entendu, tout manquement à ces règles entraînera une sanction.
Principes cruciaux: bienfaisance, autonomie, justice et non-malfaisance
Parmi les principes les plus importants figurent : charité (Il s'agira toujours d'agir pour le bien d'autrui, de mettre de côté les préjugés et de faire prévaloir les droits d'autrui. Lorsque le patient ne connaît pas le médicament, le médecin est tenu d'agir de la meilleure façon pour assurer son bien), autonomie (capacité à imposer des règles et à ne pas subir de pression extérieure), Justice (traiter tout le monde comme il se doit sans discrimination en raison de diverses conditions, c'est-à-dire que tous les patients doivent recevoir le même traitement) et pas de malveillance (Cela implique l'abstention de ces actions qui peuvent causer des dommages directs ou nuire de quelque manière que ce soit à autrui).
Le principe de non-malfaisance est considéré comme le plus pertinent car il implique un engagement envers quelque chose de fondamental, qui est de ne pas causer de préjudice direct ou indirect au patient.
Lorsqu'un médecin prescrit un traitement ou une pratique chirurgicale à un patient, il doit évaluer les risques et les avantages, les peser et, sur cette base, décider d'effectuer ou non la pratique en question.
Et en ce qui concerne le principe d'autonomie qui touche directement le patient et qui lui permet de pouvoir dire s'il doit ou non subir une opération ou un traitement, l'exemple le plus emblématique est celui du consentement éclairé, qui consiste pour le patient à donner son autorisation et acceptation par écrit avant l'imminence d'un exercice médical.
Cette acceptation marquera votre connaissance des avantages et des inconvénients de la pratique que vous subirez.
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