Parties essentielles du travail écrit
Redaction / / July 04, 2021
Les 3 parties essentielles du travail écrit sont :
1. Début
On l'appelle aussi introduction ou exorde, selon ses caractéristiques ou le type de travail. Dans l'écriture journalistique, il est primordial d'attirer l'attention du lecteur, souvent superficiel ou hâtif, et est souvent appelé "pompadour" lorsqu'il contient un résumé de ce qui est exprimé en détail plus tard.
Parce qu'il est l'entrée de l'écriture, le principe doit ouvrir les portes de l'esprit du lecteur de la manière la plus appropriée: l'attirer par l'intérêt, la curiosité, la présentation synthétique, peu concluante ou suggestive, les sentiments ou l'un des stimuli que la psychologie appliquée mentionne comme adéquats pour ce cas.
Votre objectif étant d'attirer le destinataire, dans cette partie introductive tout élément qui peut être choquant ou difficile pour lui, afin d'entrer volontiers au cœur de la écrit.
2. Moitié
Appelé aussi corps, nœud ou exposition, il est la partie fondamentale de l'écriture. Ici, la question fondamentale est exposée, avec tous les arguments et données nécessaires pour atteindre l'objectif fondamental: informer, enseigner, analyser, demander, exhorter, stimuler, divertir, diriger ou être le véhicule de relations sociales, commerciales, administratives, culturelles ou de tout autre type au sein de l'activité multiple Humain.
La mission de cette partie étant de remplir l'objectif fondamental de l'écriture, l'efficacité de sa réalisation sera le plus grand facteur de réussite de l'ouvrage.
3. Finir
Appelé aussi épilogue ou clôture, il doit constituer un couronnement adéquat de la partie médullaire. En général, leur mission est de réaffirmer ou de résumer ce qui précède. Il peut également contenir des recommandations, des souhaits, des comparaisons, des données de rappel, des remerciements ou des mentions secondaires de nature différente.
En guise de touche finale à l'écriture, elle doit être structurée de telle manière qu'elle soit une conséquence naturelle ou logique de ce qui précède (bien qu'elle ne soit pas exclure les fins inattendues ou ouvertes, dans certains types d'œuvres qui, sans être littéraires ou artistiques, admettent une certaine dose de l'originalité et la liberté d'expression, telles que les articles de commentaire ou de critique, les lettres de vente, les publicités et l'écriture Similaire.
La fin, la dernière impression qui reste dans l'esprit du lecteur, doit remplir dignement sa mission de clôture de l'écriture.