Concept en définition ABC
Divers / / July 04, 2021
Par Florencia Ucha, en oct. 2010
Dans un sens très général et large, quand on parle de impunité se rendra compte de la absence de punition qu'une personne a reçue pour avoir accompli un acte contraire à ce que le droit de la communauté dans laquelle vous vivez.
Absence de peine pour une infraction caractérisée par la loi
Entre-temps, à la demande du droite à proprement parler, l'impunité s'appellera État dans lequel a été constaté un acte criminel qui n'a pas été dûment puni de la peine que la loi correspondante l'a prévue.
Ce comportement contraire à la loi et qui n'a pas reçu de sanction peut aller d'une infraction au code de la route, comme le franchissement d'un feu rouge ou le dépassement de la limite de rapidité prévu sur une autoroute, ce qui pourrait éventuellement menacer la sécurité de personnes, ou à défaut, c'est un crime qui porte atteinte à l'intégrité physique de quelqu'un, comme c'est le cas du meurtre ou du viol.
La complicité policière et judiciaire favorise l'impunité
C'est une situation récurrente que la personne qui commet un crime ou un délit échappe à l'action judiciaire correspondante et par cas c'est qu'elle parlera en termes d'acte impuni, d'individu impuni.
La complicité de la police ou encore celle des organes chargés de faire en sorte la justice correspondante sont les raisons les plus courantes qui déclenchent l'impunité.
Lorsque la police laisse échapper un criminel ou ne le recherche pas directement, ou lorsque la justice ne se charge pas de prendre les mesures correspondantes pour enquêter acte tout à fait criminel, contribuent directement à créer un état d'impunité autour d'une personne ou d'un événement.
Ce manque d'action de la part des autorités correspondantes s'avère très préjudiciable à la société car les criminels sont libérés et sans les peines correspondantes.
Il faut aussi parler d'impunité lorsque la justice agit tardivement et non immédiatement après la production d'un délit.
Cela permet non seulement au délinquant de s'échapper, mais permet également au crime de se prescrire.
Et d'autre part, on ne peut ignorer que ce sont bien souvent les victimes elles-mêmes qui, en ne dénonçant pas leurs auteurs, en temps opportun, contribuent à leur impunité.
L'impunité répétée est ancrée dans la société et cause d'énormes dommages au progrès de la communauté
L'histoire des êtres humains est en proie à des guerres, des massacres, des génocides et des meurtres, qui se déroulent généralement déguisés. sous la protection de causes justes, c'est le cas de la guerre, et puis, une fois la guerre finie, la plupart de ces crimes qui ont été commises sous l'aile de ces circonstances considérées comme normales et correspondantes ne trouvent pas de sanction contribuant à un état de impunité.
L'impunité suppose un tel manque de protection du tissu social qu'elle contribuera malheureusement à son enkystement en son sein et plus tard il sera très difficile de l'éradiquer, car Tout le monde d'une manière ou d'une autre commencera à agir sans faire attention à la loi, répandant et répandant l'impunité, car ne pas respecter la loi est devenu quelque chose de naturel et que personne punit.
La présence de cet état d'impunité dans tout nation qui veut progresser et grandir, sans aucun doute, constitue une pierre d'achoppement pour le développement susmentionné.
On pourra parler d'impunité lorsqu'un sujet commet un crime et même s'il existe des preuves suffisantes pour l'en condamner, il ne s'avère ni jugé ni puni.
Il faut mentionner qu'il est fréquent que lorsque la justice n'agit pas comme elle le devrait, les victimes, fatiguées et très blessés par cette absence de punition, agissent en soi et finissent par se faire justice eux-mêmes, c'est-à-dire Utilisez le la violence d'exécuter des criminels.
Bien sûr, ce panorama est sombre et terrible pour toute communauté qui aspire au développement, à la paix et au renforcement de ses institutions.
Lois de l'impunité en Argentine
D'autre part, dans Argentine est connu comme Les lois de l'impunité aux lois de Point final et obéissance due et la série de décrets présidentiels signés dans les années 90 par le président de l'époque, Carlos Menem, par lequel la poursuite et l'exécution des peines contre les responsables des crimes de ça fait mal à l'humanité commis surtout à l'époque de la dictature militaire (1976-1982).
À propos, il faut souligner que quelque temps plus tard, sous la présidence de Néstor Kirchner, ils ont été abrogés, une circonstance qui a rendu la possibilité de pouvoir juger lesdits crimes.
Problèmes d'impunité